Revue Romane, Bind 9 (1974) 1

Syntaxe et lexique: Un exemple de classe sémantique

PAR

JACQUELINE GIRY

L'étude distributionnelle du lexique fait apparaître le paradoxe suivant : des termes apparemment synonymes ne figurent pas dans la même classe syntaxique définie par un ensemble de constructions donné; des termes de sens apparemment très différent figurent par contre dans la même classe.

Pourquoi dit-on, par exemple, faire le panorama des événements et non en faire le paysage, alors que panorama et paysage passent généralement pour synonymes ? Faire le profil d'un élève et non sa figure ou son visage ? (vocabulaire de l'orientation scolaire). Par contre, pourquoi trouve-t-on dans la même classe des termes de sens aussi différent que panorama, caricature, canevas, généalogie, parodie, cadastre, squelette, oraison funèbre, ... ?

Syntaxe et sémantique ne sont pourtant pas indépendantes l'une de l'autre; il semble possible d'isoler une classe de termes qui ont en commun des traits sémantiques et de préciser ces traits en examinant de prétendus synonymes exclus, eux, de cette classe.

L'étude porte sur les substantifs qui peuvent figurer dans la construction
Nofait Déti N\ de Dét2 N2 en position iVj :

Jean fait le (dessin + tableau + ... )deN2

et sur les sous-structures sans complément de Dét2 N2

Jean fait (un +du+ ...) (dessin + description + ...)

Cette construction met enjeu le verbe opérateur fairel.



1: «opérateur». Selon la terminologie de Harris, on appelle verbe opérateur un verbe qui peut s'appliquer à un syntagme verbal, comme c'est le cas ici {Jean ébauche ce roman, ¦*> Jean [fait] Vébauche de ce roman, ou à toute une phrase comme c'est ic cas pour les constructions «complétives » (Jean est fou o [Marie pense que] Jean est fou)

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1. Les termes étudiés

Les termes étudiés, (dont la liste figure en annexe) se caractérisent par
leur sens à la fois concret et abstrait, leur diversité morphologique et leur
unité syntaxique.

1.1. Leur ambiguïté sémantique

Ces termes désignent une « action » ou le « résultat concret de cette action » (faire du dessin/faire un dessin); d'autres mots pouvant figurer dans cette construction ne présentent pas la même ambiguïté (faire F examen de la situation, faire le trempage du linge) ou plutôt ces actions n'aboutissent pas, comme avec dessin ou description, à la création d'un nouvel objet, d'une œuvre.

L'objet obtenu, ou l'œuvre créée, n'est pas matériel à la manière d'une table ou d'une maison; c'est une œuvre plastique ou une œuvre de parole, fixée d'une manière ou d'une autre; certains des termes étudiés peuvent désigner ces deux types d'oeuvre: un plan, une esquisse, un schéma, désignent un énoncé ou une certaine sorte de dessin.

Cette œuvre peut être achevée ou non; les mots esquisse, ébauche,
brouillon, font partie de la même classe.

Elle est créée à partir d'un objet (désigné par le terme situé en position de N dans la phrase); un dessin, une chronique, sont toujours dessin, chronique de quelque chose. Mais cet objet peut ne pas exister effectivement: quand on fait le modèle d'une robe, le projet d'une tour, la robe, la tour, n'existent pas encore.

1.2. Leur diversité morphologique

Les termes étudiés comprennent des substantifs dérivés (dessin, schéma,
description, . . .), reliés à des formes verbales, et des substantifs «simples»
{plan, portrait, tableau, bilan, histoire, roman, . . .).

il serait satisfaisant que ces termes présentent une certaine unité de forme; ce n'est pas le cas. On peut cependant observer que la plupart des dérivés se caractérisent par l'absence de suffixe (dessin, ébauche, esquisse, copie, ...), par opposition à des termes désignant des activités purement techniques, qui ont généralement des suffixes, -age, ou -ment (filmage, épluchage, balayage, ravalement, . . .). L'opérateur faire pouvant s'appliquer aussi à ces termes, et avec la même construction, la comparaison se justifie.

Mais on trouve aussi quelques exemples de substantifs à suffixe dans

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la classe qui nous intéresse: reproduction, traduction, adaptation, orchestration,plagiat,
... )

1.3. Leur unité syntaxique

Les phrases où figurent le;> substantifs étudiés avec l'opérateur faire ont les mêmes propriétés. Dans la deuxième partie de cet exposé, nous présenterons ces propriétés dans leur rapport avec celles d'autres classes de substantifs; nous ne les citons donc pas dans ce paragraphe-ci.

Nous évoquerons simplement une construction, apparemment indépendante de faire, où ces substantifs, dérivés ou non, ont la même distribution; il s'agit d'une construction généralement décrite comme résultat d'une nominalisation. Aux phrases

Jean a fait le (tableau -+- résumé) de la. journée

on peut faire correspondre les groupes nominaux suivants (GN):

Le (tableau + résumé) de la journée par Jean

Nous ne posons pas à priori de relation transformationnelle entre ces
deux constructions.

Nous observons ceci: le complément par N, généralement associé à
des constructions verbales passives, figure ici, avec le même sens, dans
une construction qui ne se rattache à aucun verbe (faire le tableau de ...).

Une première conclusion: les deux substantifs, malgré leur différence
morphologique, sont équivalents syntaxiquement.

Deuxième conclusion, qui ne nous intéresse pas directement ici, mais qu'on peut noter: il serait beaucoup plus justifié de rattacher les GN résumé, description aux constructions en faire correspondantes qu'aux verbes résumer et décrire: car le complément par N peut figurer, pour tous les substantifs considérés, dans la phrase passive avec faire:

Le (tableau + résumé) de la journée a été fait par Jean

Comme il existe d'autres constructions défaire où apparaît le même phénomène,
cette description aurait une portée très générale, (ex. Jean fait
du gringue à Marie / le gringue de Jean à Marie)

2. Les propriétés

Nous montrerons que les termes étudiés ont les mêmes propriétés avec
faire que des termes dits «abstraits» comme matraquage ou distribution

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et aussi les mêmes propriétés que les substantifs «concrets» comme chaise ou maison; cette caractéristique apparaît très bien quand on comparedes phrases où figure l'opérateur faire et peut rendre compte de l'ambiguïté sémantique des mots dessin, schéma, etc. Mais les phrases où figurent ces mots ont aussi quelques propriétés que n'ont pas les deux autres classes.

2.1. Les propriétés de substantifs «abstraits» (ou de noms d'action)

II existe une classe de substantifs dérivés qui a été définie ailleurs par un
ensemble de propriétés étudiées à partir de paires de phrases du type
suivant :

Jean défriche la forêt

Jean fait le défrichage de la forêt

On a appliqué l'opérateur faire à la construction verbale défricher N.
Cet opérateur s'applique de la même façon aux verbes dessiner, schématiser,
reproduire, ..., et les propriétés sont les mêmes :le complément direct
de la construction verbale devient un complément de N2 avec faire.

Place du complément de N2 dans une relative :

le complément de N2 peut être dissocié du nom qui le précède dans le
cadre d'une relative; ce phénomène est propre à cette construction

Le défrichage que Jean a fait de la forêt . .
Le schéma que Jean a fait de la situation .

Parmi les constructions où figure l'opérateur faire, cette propriété semble caractériser certains verbes (ou substantifs) seulement; elle ne s'applique pas à ceux qui désignent une action consistant à «modifier un objet en surface », par exemple (décorer, capitonner, ciseler . . .)

Jean a ciselé ce bracelet

Jean a fait la ciselure de ce bracelet

*La ciselure que Jean a faite de ce bracelet .

Contraintes sur les constructions interrogatives:

La question Que fait Nq ? est possible, mais non la question Que fait
Nq de N2 ?, sinon le sens change complètement :

Que fait Jean? - (le défrichage de la forêt + le schéma de la situation).

*Que fait Jean de la forêt? - Le défrichage

*Que fait Jean de la situation? - Le schéma

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Si on modifie le déterminant dans la réponse en remplaçant le par un, on
obtient des phrases correctes, mais correspondant à une construction où
faire signifie «transformer»; ce phénomène est régulier.

La transformation passive :

Cette transformation s'applique régulièrement ; elle ne pose pas de problème
particulier, mais devait être mentionnée :

Le défrichage de la forêt a été fait par Jean

Le schéma de la situation a été fait par Jean

Notons que de Ni ne peut pas être dissocié du substantif si le déterminant
est le, alors qu'il peut l'être avec l'article indéfini :

*le schéma a été fait par Jean de la situation/ un schéma a été fait par Jean de
la situation

Les contraintes des déterminants entre eux:

11 existe des contraintes régulières entre les déterminants du substantif
dérivé et ceux du complément de N2 ; appelons les premiers Dét\ et les
seconds Dét-i'.

- si Détx = le, Dét2 = (le + ce + son + *E)

- si Déti = un, Dét2 = (le -f ce -f- non -f- E)

Nous reviendrons plus loin sur ces déterminants, car il y a aussi des différences notables, qui font l'originalité de la classe qui nous intéresse; ce sont seulement les contraintes portant sur E (i.e. déterminant zéro) qui sont communes:

*Jean a fait le défrichage de forêt

Jean a fait un défrichage de forêt

*Jean a fait le schéma d'organe

Jean a fait un schéma d'organe

La classe lexicale du sujet :

Le sujet, dans toutes ces constructions, est régulièrement un substantif
de la classe TVhum (ou désignant une machine, mais ce fait n'est pas propre
à ces constructions).

Les sous-structures :

Les sous-structures sont les constructions où ne figure pas le complément

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de N2', ce qui les distingue entre elles, ce sont les différents déterminants
possibles; l'article indéfini est régulier:

Jean a fait un (défrichage -f schéma)

Le pluriel des aussi :

Jean a fait des (défrichages 4- schémas)

L'article du est possible ou non selon les expressions; cette variation
s'observe pour les noms d'action comme pour ceux qui nous intéressent:

Jean fait (du défrichage + de l'épluchage + ? * de l'examen)

Jean fait (du dessin + de la critique + ? * du film + du cinéma -f- *de
l'ébauche)

A vrai dire, il semble que du soit toujours possible avec des termes comme
dessin, critique, . . .

2.2. Les propriétés de substantifs «concrets»

Nous appellerons provisoirement «substantifs concrets» les substantifs pouvant être compléments directs défaire dans les expressions où faire a le sens de «fabriquer» (est paraphrasable par fabriquer) et certaines propriétés, que nous évoquerons plus loin.

Jean a fait une (chaise -f- maison)

On peut comparer à cette construction les sous-structures des constructions
précédentes :

Jean a fait un (défrichage + dessin)

Or les phrases où figurent dessin, caricature, ..., mais non celles où
figurent défrichage, épluchage, .. „ ont les mêmes propriétés que la phrase
Jean fait une chaise.

Certaines de ces propriétés sont communes avec celles de la classe
précédente (passif, interrogation par Quel), d'autres sont propres à cette
classe:

possibilité d'un complément à TVhum réflexivable

Jean a fait une maison à Paul

Jean s'est fait une maison

Cette propriété n'apparaît jamais avec les «abstraits»

*Jean a fait un (matraquage -f- balayage) à Paul

*Jean s'est fait un (matraquage — balayage)

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mais elle s'applique régulièrement aux termes ambigus schéma, résumé
plan, photo, ...

Jean a fait un (schéma + résumé + plan) à Paul

Jean s'est fait un (schéma + résumé + plan)

Ce complément est également possible si le complément de N2 figure
dans la construction:

Jean s'est fait un résumé de la situation

possibilité d'un complément de N:
Sur le modèle

Jean a fait ce mur de briques

on trouve:

Jean a fait ce (plan + roman) de pièces et de morceaux

Nous considérons ici l'interprétation du complément de N comme complément
de verbe, le test étant la pronominalisation:

Jean l'a fait de briques

Jean l'a fait de pièces et de morceaux

Cette construction ne se trouve pas avec les expressions comme faire
le (matraquage -\- balayage) de N2-

Nous n'avons trouvé que ces deux propriétés pour caractériser la construction où faire a le sens plein de «fabriquer//, mais il est remarquable que la seule construction avec faire opérateur possédant ces propriétés soit celle qui comprend les termes dessin, schéma, résumé, ...

2.3. Les propriétés particulières à ces substantifs

Tout d'abord, comparés aux substantifs «abstraits» ils présentent moins
de contraintes quant à leurs déterminants :

avec les «abstraits», si Dét = un, il doit être accompagné d'un modifieur
(adjectif, relative):

*Jean a fait un examen de cette question

Jean a fait un examen approfondi de cette question

On trouve par contre :

Jean a fait un historique de cette question

Cette différence est régulière.

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Ensuite, les termes caricature, copie, historique, ... peuvent, et eux
seuls, figurer dans les deux positions, Ni et A^:

Jean a fait la caricature de ce dessin

Jean a fait le dessin de cette caricature

Jean a fait le schéma de cette histoire

Jean a fait l'histoire de ce schéma

Le fait que les phrases changent de sens quand on permute les termes n'est pas pertinent ici; seul importe le fait que la phrase a encore un sens après la permutation, ce qui n'est pas le cas si on applique cette opération à des phrases comme Jean a fait l'histoire de la chaise ou Jean a fait l'examen des données.

Cette propriété semble pouvoir s'expliquer assez bien: les termes
caricature, dessin, schéma, histoire, ... désignant des objets que l'on
fabrique à partir d'un autre objet, peuvent eux-mêmes à leur tour servir
de point de départ à la construction d'un autre objet, servir de prétexte à
une caricature, un dessin, .. . On peut même faire ¡a caricature d'une
caricature, l'histoire de l'histoire.

Nous pouvons tirer une première conclusion, concernant uniquement la classe de termes considérée: il semble que l'analyse en propriétés syntaxiques puissent rendre compte de certaines différences sémantiques, notamment de la différence entre substantifs «concrets» et «abstraits» ou de leur ambiguïté sur ce point précis.

Ajoutons que cette méthode permettrait de distinguer avec des critères sûrs les différents termes d'une «famille de mots»; par exemple modèle, modelage, modelé, qui peuvent figurer tous les trois dans une construction de l'opérateur faire:

Jean a fait le modèle de la robe

Jean a fait le modelage de la pâte

Jean a fait le modelage de la pâte
Jean a fait le modelé de ce visage

Si on tient compte seulement de la corrélation sémantique entre les élémentslexicaux
{modelé et visage, modèle et robe, ...), on se borne à
établir trois listes, qui seront toujours incomplètes. Mais si on compare
les propriétés syntaxiques de ces trois phrases, alors on constate que
modelage fait partie de la classe des abstraits comme examen et trempage
et que modèle fait partie de la classe des termes ambigus étudiés ici, comme
dessin et caricature; modelé se rattache à la classe de modelage, mais il

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s'en distingue par au moins une propriété supplémentaire (un complémentà
Ni au lieu de de N\ : Jean a fait un beau modelé à ce visage)

Autre exemple: film et filmage: filmage ne désigne que l'action technique de filmer; par contre faire le film des événements est une expression ambiguë au sens défini ci-dessus; si on pousse l'analyse, on constate que les compléments possibles avec le verbe filmer se répartissent différemment selon qu'on emploie film ou filmage avec faire; il y aurait donc raffinement des distributions (et du sens) quand on passe du verbe à la structure faire + substantif dérivé.

3. Considérations sémantiques: listes ouvertes, métaphores, traits sémantiques

Nous essaierons de répondre aux premières questions posées dans l'introduction,
mais sans dépasser le stade des hypothèses.

L'ensemble de termes défini par les propriétés syntaxiques énoncées précédemment est un ensemble ouvert; on y trouve des mots qui s'y sont introduits par métaphore ; ainsi d'un roman on peut faire le plan, Y esquisse, mais aussi la trame, le canevas, le squelette; métaphores devenues usuelles, mais la langue peut en créer d'autres.

Reste à déterminer à quelles conditions, car il semble y avoir des conditions; autrement dit pourquoi tel mot apparemment synonyme est-il déjà exclu et non tel autre? pourquoi panorama est-il substituable à description et non paysage par exemple ?

L'hypothèse de traits sémantiques caractérisant une classe distributionnelle semble justifiée ; essayons de préciser ceux qui seraient communs à tous les termes de la classe étudiée ici : ces termes désignent des actions et les objets qui en résultent; ces actions semblent impliquer:

- un objet initial

- une vue d'ensemble de cet objet

- une technique permettant de représenter cet objet initial dans sa totalité
(en tant qu'il est perçu comme un tout)

Ces notions sont évidemment un peu floues, mais elles paraissent s'appliquer à des expressions commz faire la copie d'un tableau, faire l'histoire de la linguistique, faire la généalogie d'une famille, faire le cadastre de la commune. L'objet initial reste inchangé, contrairement à ce qui se passe quand on fait la dissection ou là. réparation de quelque chose (expressions de structure identique, mais avec des propriétés différentes).

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L'idée que l'objet initial est représenté dans sa totalité d'un certain point de vue, donc organisé semble essentielle et rend peut-être compte de l'opposition entre panorama et paysage: le dictionnaire Robert dit que panorama désignait un «spectacle constitué par un vaste tableau circulaire peint en trompe-l'œil et destiné à être regardé du centre» et désigne maintenant «une vue circulaire»; or cette notion n'apparaît pas dans le mot paysage, «partie d'un pays que la nature présente à un observateur».

Ainsi seuls les mots évoquant cette idée de totalité organisée ou d'ensemble clos, pourraient entrer dans la construction Nofait le N\ de N2', on peut vérifier dans le Robert que cette notion est présente dans les définitions des mots trame, canevas, squelette; de même une oraison funèbre, c'est l'énoncé de tous les mérites d'une vie d'homme, perçue maintenant, en vertu de la mort, comme un tout bien clos.

Voilà donc un exemple, très limité il est vrai, d'étude de lexique fondée sur l'analyse syntaxique. L'hypothèse de traits sémantiques (indépendants de la relation de synonymie) semble pouvoir rendre compte de l'hétérogénéité apparente d'une classe de mots isolée par l'analyse syntaxique, et de certaines contraintes sur le jeu des métaphores.

Les termes qui font problème:

1. préface, introduction, conclusion, prologue,

Jean fait la préface de ce livre

Cette phrase diffère des phrases étudiées parce que le complément de N
peut être remplacé par un complément à N:

Jean fait une préface à ce livre

Un tel complément est impossible avec schéma, plan,

Jean fait un plan (du + *à) métro

De même pour horoscope.

2. total, somme, moyenne,

Jean fait (la + une) moyenne des notes

Le critère du complément à Nhum semble s'appliquer difficilement ici

?Jean fait (la + une) moyenne des notes à Marie

*Jean se fait (la + une) moyenne des notes

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Ces termes sont à rapprocher des substantifs «abstraits» comme découpage,
examen, ...


DIVL1585

Une liste de Ni dans la construction N^fait le N\ de N2

Jacqueline Giry

Paris-Vincennes


DIVL1585

Une liste de Ni dans la construction N^fait le N\ de N2

BIBLIOGRAPHIE

Chomsky, N. Aspects of' the theory ofSyntax, M.I.T. Press, Cambridge, Mass. (1965)

- Rernarks ou Noininaiizalion, in k. Jacobs and F. S. Kosenbaum, Wallham,
Mass. Ginn. Blaisdell (1967)

Giry, J. Analyse syntaxique des constructions du verbe faire, Paris (1972)
L.A.D.L.

Gross, M. Grammaire transformationnelle du français. Paris, Larousse (1968)

Harris, Z. H. Elementary Transformations, T.A.D.P. n° 54 University of Pennsylvania,
Philadelphie (1964)

Lafaye, Dictionnaire des synonymes, Paris (1878)

Ruwet, Introduction à la Grammaire générative, Pion Paris (1967)