Revue Romane, Bind 8 (1973) 1-2

Vorrei una moglie che mi amasse Rection secondaire?

PAR

LENNART CARLSSON

Nul doute que la subordonnée relative ne soit le chapitre le moins fouillé dans le domaine de la syntaxe modale des langues romanes. Tandis que les ouvrages de Bôrjesonl, de Nordahl2 et de Boysen3 constituent chacun un grand pas en avant vers une description satisfaisante de l'emploi des modes dans la complétive en français, nos connaissances, en ce qui concerne la relative, ne dépassent pas de beaucoup ce qu'on peut lire dans les manuels de grammaire.4 Est-il besoin de dire que les descriptions qu'on y trouve se ressentent parfois de ce manque regrettable d'études approfondies

Comment interpréter ce silence des spécialistes? Faut-il croire, tout simplement, que la relative ait été jugée moins digne d'intérêt que la complétive ? Qui mérite tant soit peu le titre d'initié répondrait qu'à bien des égards, c'est plutôt l'inverse qui est vrai. Il semble donc qu'on doive opter pour une autre explication, tout aussi banale que celle qu'on vient de rejeter: les spécialistes se sont heurtés à des difficultés méthodologiques si considérables qu'ils ont préféré s'abstenir.

C'est le problème du classement même des faits enregistrés qui s'avère
ici particulièrement épineux. A l'aide de quels critères pourrait-on



1: La fréquence du subjonctif duns les subordonnées complétives introduite par «que» étudiée dans des textes français contemporains, Studia Neophilologica, 38 (1966), pp. 3-64.

2: Les systèmes du subjonctif corrélatif, Bergen-Oslo, 1969.

3: Subjonctif et hiérarchie, Odense, 1971.

4: II n'y a guère que le cas «superlatif» qui ait attiré l'attention des linguistes: L. Carlsson, Le type «C'est le meilleur livre quii ait jamais écrit» en espagnol, en italien et en français, Uppsala, 1969, et Le type catalan «Es el millor /libre que hagi escrit mai», Studia Neophilologica, 42 (1970), pp. 157-173; H. Nordahl,Le mode le plus fascinant qui soit, Revue Romane, V (1970), pp. 106-119; M. Ulleland. La più bella donna che io abbia mai vista, Studi sul Boccaccio, 4 (1967), pp. 281-293.

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obtenir des catégories suffisamment homogènes et assez nettement délimitées? Il serait faux, bien entendu, de prétendre que ce genre de difficultés se présente uniquement en ce qui concerne la relative. D'autre part, il faut constater que, dans le domaine des complétives et dans celui des circonstancielles, le linguiste dispose d'un critère de classification qui, sans être toujours suffisant, reste partout scientifiquement irréprochable : l'expression régissante (verbe, conjonction) prise comme entité purement formelle. C'est là une possibilité qui n'existe pas, du moins dans la même mesure, dans le cas de la relative, où surgissent un certain nombre de complications, dont la plus importante est la nature variable de l'antécédent.

Etant donné l'état de choses qu'on vient d'esquisser, il faut savoir gré à Jorgen Schmitt Jensen d'avoir accordé à la relative tout l'intérêt qui lui revient de droit, dans sa magnifique étude Subjonctif et hypot axe en italien*, ouvrage qui fera date dans l'histoire de la syntaxe romane. Le chapitre qu'il consacre à ce type de subordonnée est à considérer comme la première tentative sérieuse de trouver un principe cohérent d'explication des divers emplois du subjonctif qui s'y présentent. Voici, in extenso, le plus explicite des passages où Schmitt Jensen expose son idée directrice :

«Comme des membres non primaires, leur mode de base est ¡"indicatif.6 Ce mode de base est souvent changé en subjonctif, et, à part quelques types spéciaux, figés, peu nombreux, ce subjonctif est «régi» de l'extérieur, comme une sorte de «rection» (subordination) supplémentaire venant de quelque élément verbal, c est-a-dire de quelque élément qui se subordonne des rnem bres primaires (verbe, substantif verbal, préposition) ou d'une négation. Ou bien, dans d'autres cas («les types restrictifs»), il dépend d'un adjectif au superlatif, ou d'un autre mot correspondant, dans une construction qu'il faut probablement analyser en analogie avec les expressions nettement verbales (ou négatives), c'est-à-dire comme une subordination supplémentaire (établie avec un élément «contenant» une préposition et/ou une négation). Il s'agit, presque exclusivement, de «rections» manifestes, c'est-à-dire de subordinations supplémentaires qu'établissent ces racines (ou, dans un type [C], le nexus principal même) avec les résultats sémantiques (pour la relative) qui en découlent. »7

Cela veut dire, notamment, qu'en principe Schmitt Jensen ne veut pas
admettre l'existence d'un subjonctif libre et indépendant, exprimant de
par lui-même les nuances sémantiques dont il peut être question («rection



5: Odense, 1970.

6: En italiques dans le texte.

7: Op. cit., p. 532.

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verticale »). A ses yeux, c'est l'élément verbal de la principale qui régit le subjonctif non seulement dans Vorrei che mi amasse mais aussi dans Vorrei una moglie che mi amasse, tout aussi bien dans Ho bisogno di un cameriere personale che mi tenga in ordine questa roba (Epoca, 13 dèe, 1964, p. 24) que dans Ho bisogno che mi tenga in ordine questa roba, etc. La valeur sémantique de la relative serait un résultat purement mécaniquede cette rection secondaire.

Il faudrait beaucoup de mauvaise volonté pour ne pas reconnaître une valeur certaine à ce principe d'explication méthodologiquement sain. Les exemples auxquels il peut être appliqué avec profit sont en effet très nombreux :

Io vorrei un paio di scarpe che fossero strette di fuori, ma larghe di dentro
(Epoca, leT mai 1966, p. 146, 3).

Abbiamo bisogno di angeli veri che ci proteggano (G. Guareschi, Don
Cantillo e il suo gregge, p. 118).

Occorrerebbe una persona che abbia prestigio, autorità e spirito imparziale,
un uomo che dia garanzie di equilibrio e di fermezza (Epoca, 13 dèe. 1964,
p. 21,4).

Aveva chiesto al Governatore truppe che lo proteggessero (Tempo, 23
mars 1966, p. 52,1).

rimasi parecchi minuti cosi, aspettando un' apocalisse, o un terremoto, o
una qualsiasi rovina cosmica, che risolvesse questa notte odiosa (Elsa Morante,
V isola di Arturo, p. 345).

Ma io preferisco un maschio: un maschietto che ti somigli. - E io una
bambina: una bambina che ti somigli (C. Cassola, La ragazza dißube, p. 107).

Le dénominateur commun de tous ces exemples est la présence, dans la principale, d'un verbe qui, de par son contenu sémantique, «virtualise » l'antécédent, et l'existence d'une tournure parallèle verbe + complétive au subjonctif. C'est justement ce type d'exemples qui se prête le mieux à appuyer la théorie de Schmitt Jensen.

Les choses se compliquent considérablement quand on en vient à des
cas comme les suivants :

Si trattava di costruire in fondo al giardino, al posto di due serre, uno stanzone
che lo occupasse da parte a parte (A. Palazzeschi, I fratelli Cuccoli, p. 38).

Un mio amico, per scrivere, si fece costruire una villa nella pineta, da cui
potesse udire il rumore del mare (Epoca, 16 oct. 1966, p. 47,1).

Un verbe comme costruire ne contient en soi rien qui soit susceptible de «virtualiser » son objet direct (cf. p.ex. cercare). Dans le premier exemple,la valeur non actuelle de l'antécédent reste pourtant tout à fait claire: si trattava di nous apprend que la construction n'est encore que

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projetée. Ce qui constitue l'originalité du dernier exemple, c'est que nous avons là un «passato remoto», forme qui, en l'absence de force virtualisantede la racine même, confère régulièrement à l'objet direct une valeur pleinement individuelle et concrète. Sans la relative, une telle valeur s'imposerait pour una villa. La relative au subjonctif nous renseigne sur les idées qui animaient le protagoniste au moment où il voulait entreprendrela

Que dirait Schmitt Jensen de ces phrases, à propos desquelles il semble absolument impossible d'invoquer une tournure parallèle costruire che + subjonctif? Les regarderait-il par hasard comme deux de ces rares exceptions dont il ne nie pas entièrement l'existence ? Loin de là. A ses yeux, ces cas sont de ceux qui appuient son idée de base :

«Une série de verbes pour lesquels on peut difficilement imaginer une proposition complétive comme O, sont suivis du subjonctif dans les propositions relatives avec un sens qui est comme si le verbe à rection supplémentaire avait été fare. Dans ce cas, la signification est très proche de ce que la grammaire traditionnelle nomme «finale» - mais elle n'est pas «libre», elle dépend des racines, p.ex. approntare, costruire, piantare. La sémantique de ces verbes peut être exprimée par «fare +», il s'agit d'une sorte de «verba faciendi» et comme, normalement, on ne peut pas avoir une action verbale comme objet de tels verbes, c'est «fare» dans la racine qui émet la « rection »/subordination supplémentaire. »8

Malgré l'élégance et l'ingéniosité de cette interprétation, il semble qu'on ait le âroit de n'être pas pleinement convaincu. On dirait que Schmitt Jensen, évidemment trop honnête pour taire l'existence de ces cas rebelles, est si attaché à sa théorie de base qu'il ne veut pas voir combien une explication de type traditionnel aurait été plus naturelle.

Voici un exemple encore plus problématique :

Cancellò irritato l'ultima frase con un tratteggio che impedisse di decifrare
le parole (L. Santucci, // velocifero, p. 236).

Comme on le comprend facilement, le subjonctif indique que le trait de
plume était intentionnel, tandis que l'indicatif aurait fait exprimer à la
relative un fait indépendant de la volonté du protagoniste.

Schmitt Jensen serait-il d'accord pour regarder ce subjonctif comme le résultat d'une «rection verticale»? La manière dont il commente deux exemples similaires prouve qu'il n'en est rien: il «traduirait» tout simplementcon pai facendo : con un tratteggio che impedisse —facendo un tratteggioe



8: Op.cit., p. 539.

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gioefacendo che impedisse. Le cas rentre sous la rubrique «Rection
supplémentaire des prépositions».9 Cette explication a-t-elle vraiment de
quoi rallier tous les suffrages?

Difficile de savoir à quels subterfuges aurait recours Schmitt Jensen
pour faire rentrer dans son système des cas comme les suivants:

A diciotto anni, infine, prese di nuovo qualche lezione che lo aiutasse specialmente
nella parte tecnica (Epoca, 26 dèe. 1965, p. 85,1).

Per due mesi, Johnston e Ridgway girarono tutta l'lnghilterra consultando
esperti che dessero loro consigli tecnici sullo scafo e le attrezzature (Tempo,
19 oct. 1966, p. 23,1).

Culle, lettini . . occupavano pareti inadatte, angoli da cui una porta o una
finestra fossero più o meno visibili (Anna Banti, La casa piccola, p. 38).

L'effet sémantique obtenu par l'usage du subjonctif dans ces trois phrases est très facile à décrire. La forme aiutasse du premier exemple place la relative sous la dépendance de la volonté du protagoniste. Un indicatif indiquerait au contraire le résultat effectif des leçons. Dans le deuxième exemple, le subjonctif dessero suggère une idée de recherche, de choix: on s'intéressait seulement aux experts qui pourraient éventuellement fournir des renseignements. Dans le dernier exemple, enfin, la forme fossero nous enseigne qu'il s'agit d'un arrangement intentionnel des meubles.

Devant de tels cas, où il n'y a aucun élément dans la principale qui puisse revendiquer le titre de terme régissant, la seule attitude raisonnable est de se rendre à l'évidence. L'emploi du subjonctif «indépendant» n'est pas limité à «quelques types spéciaux, figés». On l'observe çà et là dans des exemples qui, abstraction faite de cet emploi modal un peu particulier, forment un groupe des plus hétérogènes.

Si négligeable que soit le nombre de ces cas aberrants, ils fournissent un très sérieux argument contre la théorie de Schmitt Jensen, dans sa forme la plus orthodoxe. Une fois qu'on a constaté que, dans certaines phrases, le subjonctif peut effectivement être le seul porteur du sens volitif, final, etc., il n'est plus possible de prouver que ce sens, ainsi que le subjonctif lui-même, soit une conséquence entièrement automatique du contexte, là où un autre terme suggérant la même nuance apparaît dans la principale. De tels phénomènes de redondance apparente ne nous autorisent pas à refuser, sans autres preuves à l'appui, tout contenu sémantique propre à l'un des éléments engagés.

La vérité, la triste vérité si l'on veut, est probablement que l'usage raodaldépend



9: Op.cit., p. 555.

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daldépendde l'idée que se fait le locuteur des possibilités de distinction qui lui sont offertes par le système de la langue. Il a acquis un sentiment plus ou moins développé des effets de sens qu'on peut obtenir, et c'est par ce sentiment qu'il se laisse guider dans son «choix modal». C'est la sémantique qui est le facteur décisif.

Une telle conception de base n'implique pas qu'il faille rejeter une fois pour toutes les contraintes purement formelles comme facteur explicatif: qu'on pense p.ex. à l'emploi généralisé du subjonctif après jusqu'à ce que en français, même en parlant d'un événement réalisé.

Faut-il donc conclure que, dans sa description de l'usage modal dans la relative en italien, Schmitt Jensen se soit laissé guider par un principe à tous points critiquable? Bien au contraire. Il suffit d'un changement léger de perspective pour qu'on puisse regarder sa méthode comme pleinement justifiable, voire la seule qui soit vraiment efficace. Dès qu'on se décide à voir dans sa théorie non la découverte d'une vérité nouvelle, plus vraie que celle dont on devait se contenter auparavant, mais bien plutôt un moyen pratique d'accès partiel à une vérité très difficile à atteindre, il n'y a plus d'objections à faire. Comme les cas dans lesquels on trouve de solides critères formels sont, malgré tout, majoritaires, on aurait grand tort de se priver de la possibilité d'obtenir ainsi quelques catégories de base rigoureusement définies. L'analyse de ces catégories nous permet ensuite de mieux interpréter les cas qui, à première vue, ne se laissent ranger sous aucune des rubriques utilisées. Seulement, il faut nommer chaque chose par son nom: ce qui n'est qu'un procédé choisi pour des raisons d'ordre pratique, un pis-aller si l'on veut, ne saurait être appelé une explication.

Tout cela risque de paraître fort banal. Il faut pourtant se libérer parfois de cette crainte bien connue de n'énoncer que des lieux communs, crainte qui, à la longue, risquerait de faire tomber dans l'oubli plus d'une vérité essentielle.

Le premier reproche qu'on pourrait adresser à Schmitt Jensen est donc d'avoir sous-estimé le rôle du subjonctif «indépendant», résultant d'une «rection verticale», et d'avoir ainsi défendu sa théorie in absurdum. Il faut signaler maintenant un autre point discutable, très important pour qui cherche dans son étude des renseignements précis sur l'usage même du subjonctif en italien.

Schmitt Jensen cite, p. 538, quelques exemples d'un t>pe des plus
intéressants où la principale comporte le verbe parere ou son synonyme
sembrare: E pare un vecchio cane morente che aspetti Vuìtima carezza dal

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suo padrone; . . sembrava un padre che catechizzasse il figlio. Après huit subjonctifs de ce genre, Schmitt Jensen cite deux indicatifs «nettement populaires»: Sembrate un malato che si studia la febbre; tutti i rumori sembrano passi che si avvicinano.

Il s'agit là d'une des variantes formelles les plus importantes d'une
très vaste catégorie sémantique où la relative entre dans une comparaison.
Dans le type de base, la principale contient un corne:

l'erba si moveva nel prato, la luna nel cielo, come esseri che cercassero di
fuggire (L. Santucci, // velocifero, p. 409).

Selon les renseignements qu'on trouvera dans un ouvrage non encore
publié,lo l'indicatif est en réalité tout à fait normal dans ce genre de constructions,
dès que la relative comporte un présent :

e, di lontano, la traballante corriera pare un'oasi che cammina (B. Sanminiatelli,
La mora, p. 40).

Osvaldo era rumoroso, tempestoso, lavandosi pareva un delfino che getta
acqua dalle narici (A. Palazzeschi, I fratelli Cuccoli, p. 104).

Sembriamo due agenti che fanno la ronda notturna (Alba de Céspedes,
Prima e dopo, p. 47).

Il est donc certainement faux de croire, avec Schmitt Jensen, que cet emploi appartienne à un niveau stylistique inférieur. Pourquoi, au fond, Schmitt Jensen a-t-il éprouvé le besoin d'«expliquer» ces indicatifs? La raison en est probablement que, fidèle à son hypothèse de la rection secondaire, il postule, sans le dire expressément, il est vrai, un parallélisme complet dans l'usage modal entre pare, sembra che -f- complétive et pare, sembra un uomo che -f relative. Comme il sait mieux que personne que l'indicatif est assez exceptionnel dans la première de ces constructions, il conclut qu'il en est de même dans la seconde.

On ne saurait trop insister sur le fait que c'est là une manière absolument inadmissible d'utiliser la technique de description préconisée par Schmitt Jensen. Celui qui n'a pas été convaincu par les faits dont on vient de faire état, pourrait p.ex. se rapporter au témoignage fourni par le portugais. Dans cette langue, parecer, accompagné ou non d'un régime indirect, régit l'indicatif, s'il s'agit d'une complétive:ll



10: L. Carlsson, Escribía como un hombre que se hubiera vuelto loco. Un problème modal roman.

11: Cf. L. Carlsson, Sur Vusage des modes après «(me) parece que» en castillan et «(em) sembla que» en catalan, Studia Neophilologica, 42 (1970), p. 406, note 5.

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Parecía que nunca tinham visto um operaio (L. de Sttau Monteiro, Angùstia
para o Jantar, p. 120).

Zé Maria nào gostou da resposta. Parecia-lhe que havia nela urna insinuaçâo
(F. Namora, Fogo na Noite Escura, p. 36).

S'il s'agit d'une relative, le subjonctif est au contraire très fréquent:

Curvado para a frente, mâos atrás das costas, parecía alguém que estivesse
a aprender a afogar-se (F. Namora, Fogo na Noite Escura, p. 445).

De cada lado, biseladas no xisto e suavizadas pelo riso estampado das
vinhas, as duas encostas pareciam rampas ciclópicas que levassent ao céu
(M. Torga, Vindima, p. 173).

Faudrait-il donc renoncer complètement à l'idée selon laquelle le subjonctif serait imputable au verbe de la principale? Non, certes, mais il faut éviter d'invoquer l'existence d'une tournure parecer + complétive, fait entièrement sans pertinence. Le facteur subjonctivigène s'avère être un sens comparatif-hypothétique, celui qui caractérise aussi le cas era como um homem que, et c'est en tant que collateur de ce sens que le verbe est, malgré tout, d'une importance certaine pour le «choix modal».

Lennart Carlsson

UPSAL